Résumé : En se plaçant dans la peau du charbonnier, de l'ignorant, de la bête, Jean Anglade dialogue avec Dieu. Il Lui pose des questions, râle, règle des comptes, blague, aime, prie ou sourit. Et, à l'issue de ce dialogue, s'ouvre la vision angladesque d'un univers entièrement gouverné par l'amour et par l'humour. Citant François Cavanna, le Coran, la Bible, convoquant ses maîtres à penser Alexandre Vialatte et Pascal, Jean Anglade enchante par son érudition et ses réflexions : Seigneur, on ne Vous honore jamais assez. Quatre jours d'adoration sur sept ne seraient jamais de trop.